Madame, Monsieur, cher(e) ami(e),
Cette affirmation - que je sais partagée par tous les bénévoles du mouvement sportif - porte des exigences. D'abord celle d'une implication de I'Etat : si le sport est un droit, il doit être assuré partout sur le territoire et pour tous et toutes. Cela demande aussi un ministère de plein exercice - ce que vient d'acter le nouveau gouvernement - et des personnels en proximité des clubs et des élus locaux. Cela demande enfin des moyens: en dix ans, les fondements du sport pour tous et toutes, du haut niveau olympique, d'un sport professionnel mutualisant ses moyens avec le sport amateur ont été démantelés.
C'est l'objet de la rencontre à laquelle je vous convie